L’arrivée du thé dans le Rwanda s’est faite tardivement, dans les années 1950/1960.
Les
premières cultures du thé rwandaises ont lieu près de Bigut, par la
Société Agricole de Bigutu une société française. Elle produisait du thé
noir essentiellement. Par la suite les cultures se sont établies près
de Cyangugu et de Byumba, régions favorisées par le sol acide et
volcanique.
Après l’indépendance du pays, en 1962, le développement
du thé s’est accéléré sous l’impulsion du gouvernement rwandais qui
cherchait à diversifier ses sources de revenus, soutenu par des fonds
européens de développement.
En 1974, l’Office des Cultures
Industrielles du Rwanda (OCIR) fut créé avec mission de participer à
l’élaboration de la politique et des stratégies de la filière thé, de
fixer les normes de qualité du thé, de recueillir et de diffuser les
informations et de promouvoir la recherche et le développement du
secteur thé.
Aujourd’hui, ce sont les plantations de Kitabi et Rukeri qui sont reconnues pour leurs thés de qualité.
Toute la production de thé est certifiée « Rinforest Alliance » pour une agriculture durable dans le respect de l’environnement.
Le Rwanda propose actuellement des thés noirs, des thés verts et thés blancs préparés par la méthode orthodoxe.
Thé noir d'Afrique Rwanda Rukeri OP
Cultivé
à une altitude entre 1500 et 2000 mètres, sur un terroir riche
idéalement irrigué, le thé noir d'Afrique Rwanda Rukeri OP à la saveur
originale aromatique et corsée développe des notes boisées et végétales
typiques. Parfait pour le petit déjeuner avec du lait mais également
nature toute la journée.
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